« Ma mère dit qu’il ne faut pas gâter les enfants et elle me fouette tous les matins. Quand elle n’a pas le temps le matin, c’est pour midi et rarement plus tard quatre heures. » Tel est le souvenir des jeunes années de Jules Vallès. Cette enfance ratée, son engagement politique pour créer un monde meilleur, l’insurrection de la Commune, il les évoque, à la fin de sa vie, dans une trilogie : L’enfant, Le bachelier et L’insurgé. La langue de Jules Vallès est extrêmement moderne. Pourtant, l’histoire de Jacques Vingtras fut écrite en 1875 et c’est celle des mal-aimés de tous les temps.
« Ma mère dit qu’il ne faut pas gâter les enfants et elle me fouette tous les matins. Quand elle n’a pas le temps le matin, c’est pour midi et rarement plus tard quatre heures. » Tel est le souvenir des jeunes années de Jules Vallès. Cette enfance ratée, son engagement politique pour créer un monde meilleur, l’insurrection de la Commune, il les évoque, à la fin de sa vie, dans une trilogie : L’enfant, Le bachelier et L’insurgé. La langue de Jules Vallès est extrêmement moderne. Pourtant, l’histoire de Jacques Vingtras fut écrite en 1875 et c’est celle des mal-aimés de tous les temps.