Texte majeur, mais totalement méconnu, même par ses fans, «Joséphine la cantatrice» est l’ultime écrit de Kafka. On peut le considérer comme son testament littéraire.
Avec une préface de Sarah Chiche.
Texte majeur, mais totalement méconnu, même par ses fans, «Joséphine la cantatrice» est l’ultime écrit de Kafka. On peut le considérer comme son testament littéraire.
Avec une préface de Sarah Chiche.
Nulle anecdote adventice, nul autre personnage que le narrateur – hors cet intrus, à la réalité hypothétique, qui vient soudainement perturber le silence du terrier –, encore que, plus on avance dans le récit, plus on a le sentiment que le terrier est, lui aussi, un personnage...
Nulle anecdote adventice, nul autre personnage que le narrateur – hors cet intrus, à la réalité hypothétique, qui vient soudainement perturber le silence du terrier –, encore que, plus on avance dans le récit, plus on a le sentiment que le terrier est, lui aussi, un personnage...